Les marées du destin selon voyance Olivier
La nuit s’étirait marqué par une voûte céleste continu, enveloppant Sybille dans un silence profond. La lune, d’un beauté spectrale, s’accrochait aux nuages épars de la même façon qu'un phare isolé dans l’infini. Elle avançait par les ruelles désertes, guidée par une médéore qu’elle ne comprenait toujours pas foncièrement.